7.000 femmes sont potentiellement concernées...

L’objectif : diviser par deux le nombre d’amniocentèses pratiquées pendant la grossesse. L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé ce jeudi qu’elle allait donner la possibilité à davantage de femmes enceintes de subir un test ADN de diagnostic de la trisomie alternatif à cet examen dit « invasif, qui comporte des risques de fausses couches et d’accouchements prématurés ».

Une généralisation rendue possible par l’ouverture mardi d’une plateforme automatisée. Le dépistage sera confié à des robots, permettant ainsi de réaliser un plus grand nombre de ces tests innovants capables de repérer la trisomie 21 mais aussi les trisomies 18 et 13.

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Une femme enceinte de sept mois. Illustration.
Une femme enceinte de sept mois. Illustration. - C. Delahaye / Sipa

20 Minutes avec agences

        Publié le 05.05.2017 à 12:26
        Mis à jour le 05.05.2017 à 12:27

L’objectif : diviser par deux le nombre d’amniocentèses pratiquées pendant la grossesse. L’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a annoncé ce jeudi qu’elle allait donner la possibilité à davantage de femmes enceintes de subir un test ADN de diagnostic de la trisomie alternatif à cet examen dit « invasif, qui comporte des risques de fausses couches et d’accouchements prématurés ».

Une généralisation rendue possible par l’ouverture mardi d’une plateforme automatisée. Le dépistage sera confié à des robots, permettant ainsi de réaliser un plus grand nombre de ces tests innovants capables de repérer la trisomie 21 mais aussi les trisomies 18 et 13.
7.000 femmes potentiellement concernées

Dans le détail, le test permet d’analyser l’ADN du bébé à partir d’une simple prise de sang chez la future maman, via les cellules du fœtus qui y sont présentes. Si le test est négatif, l’amniocentèse peut être évitée. Elle reste toutefois indispensable en cas de résultat positif.

Depuis février 2016, le test était proposé gratuitement dans deux maternités de l’AP-HP, à savoir celles de Cochin à Paris et de Louis-Mourier à Colombes (Hauts-de-Seine). Mais avec son élargissement aux autres hôpitaux grâce à cette plateforme, 7.000 femmes sont désormais potentiellement concernées.

(...)

Auteur de l'article original: Rédaction 20 Minutes
Source: 20 Minutes & agences
Date de publication (dans la source mentionnée): Samedi, 6. Mai 2017
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