Nathalie Croiziers, professeure de français au collège Niel a «Le lion et le souriceau» à son programme. Mais quand elle a les 23 élèves du projet général «apprendre autrement» en cours, les tablettes numériques se posent sur les tables et des images à crinière ou à moustaches de la fable de La Fontaine viennent égayer les textes, mis en page après correction.

Exactement la même chose que pour les autres classes, mais avec un outil technologique en plus pour ces élèves ayant des problèmes d'autonomie ou souffrant de troubles d'apprentissage : dyslexie (lecture), dyspraxie (mouvements) ou dyscalculie (calcul). (...).

Source : La DEPECHE.fr

Date de publication (dans la source mentionnée): Lundi, 27. Mai 2013
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