La dyspraxie, qui gêne dans la réalisation des gestes de la vie courante, toucherait 5 à 7 % des enfants. Sans toujours être dépistée correctement.

Un enfant de 10 ans qui fond en larmes parce qu'il a eu une bonne note en science, banal? Sauf que Théo est un enfant travailleur et appliqué qui peine à avoir de bons résultats car il souffre de dyspraxie. En pratique, des choses simples pour ses petites camarades, comme par exemple l'écriture ou le dessin d'une figure géométrique, lui posent d'énormes problèmes. D'ailleurs, si Théo a enfin décroché une bonne note en science, c'est surtout parce que sa maîtresse a accepté de l'évaluer… à l'oral (...).

Source : Le Figaro.fr (extrait)

Date de publication (dans la source mentionnée): Jeudi, 2. Février 2012
Photo: