Une activité physique bien adaptée, c’est un bon moyen d’améliorer la qualité de vie des malades victimes de sclérose en plaques (SEP). Exemples à l’appui le Dr Claire Aymard, chef du service de médecine physique et de réadaptation à la Fondation hospitalière Sainte-Marie de Paris, nous le confirme sans hésiter.

La SEP est une maladie auto-immune du système nerveux central. Evoluant par « poussées » elle affecte le cerveau et la moëlle épinière et entraîne la destruction de la gaine de myéline, qui entoure et isole les nerfs. Plus ou moins sévères, les symptômes en sont très invalidants. Le trait dominant, c’est une fatigue omniprésente. Celle-ci « est présente dans 90% des cas. Lorsqu’elle est associée à une diminution de la mobilité, elle aggrave la désadaptation à l’effort  » explique Claire Aymard (...).

Source : Destination Santé (extrait)

Date de publication (dans la source mentionnée): Jeudi, 7. Juin 2012
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