Maladie d’Alzheimer, Attachements et résilience À propos de 50 observations de malades et de familles suivis sur plus de 10 ans
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À propos de 50 observations de malades et de familles suivis sur plus de 10 ans
Antoine Lejeune
Description :
– Peut-on parler de résilience avec une maladie d’Alzheimer ? Si oui : à quelles conditions ?
– Le malade que l’on appellerait « résilient » aurait-il un parcours particulier ?
– Peut-on retrouver des marques, des traces, des différences, à la lumière de la théorie de l’attachement ?
Voici les trois questions auxquelles a tenté de répondre l’auteur, en utilisant l’expérience d’un diagnostic, d’un suivi et d’une prise en soin, dans une consultation mémoire et dans un réseau de soin, sur le Pays d’Aix-en-Provence.
PRÉSENTATION DES AUTEURS
Antoine Lejeune, neurologue à Aix-en-Provence.
SOMMAIRE
Introduction
I – Quels sont les outils utilisés pour l’étude ?
II – Quelle est l’évolution de la maladie d’Alzheimer ?
III – Qui sont les malades ?
IV – Qui sont les familles ? Quel est l’environnement du malade ?
V – La question de la déchirure traumatique
VI – Comment les relations d’attachement apparaissent déterminantes ?
VII – Quelles sont les compétences de l’aidant familial principal ?
VIII – Quels sont les facteurs et les déterminants de résilience ?
IX – Quels sont les comportements faisant évoquer la possibilité d’une résilience ?
X – Comment définir et caractériser le déclin résilient ?
XI – La résilience impossible
XII – Que peut faire le soignant ?
XIII – Quels rôles jouent les médicaments ?
XIV – La fin de vie des malades et des aidants familiaux permet-elle de mieux comprendre le déclin résilient ?
XV – L’épigenèse et la plasticité
Conclusion
Lexique
Remerciements
Bibliographie
Annexes
Source : Solal
