Un médicament délivré par voie buccale offre une alternative bienvenue pourles familles dans le traitement d'urgence des crises convulsives aiguës prolongées.

C'est un «pro­­grès thérapeutique mineur» aux yeux de la Haute autorité de santé (HAS). Et pourtant, la différence pourrait être majeure pour les patients. Imaginez: lors d'une balade en famille, un enfant épileptique fait une crise, qui se prolonge; la mère dégaine et casse une ampoule de diazépam pour y prélever une quantité donnée de produit, avant de baisser le pantalon de son enfant en pleine convulsions et de lui injecter le médicament dans le rectum, au vu des passants… (...).

Source : Santé Figaro (extrait)

Date de publication (dans la source mentionnée): Mardi, 3. Décembre 2013
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