Paris / Lyon - Conçues pour soigner, certaines techniques peuvent "doper" nos performances cognitives. Découvrez les questions éthiques et législatives que posent ces technologies qui agissent sur notre cerveau, au cours de la prochaine conférence Santé en questions, gratuite et ouverte à tous.
Infos pratiques

Public : tout public
Lieu : Cité des sciences et de l'industrie (Paris) / Bibliothèque de la Part-Dieu (Lyon)
Date et horaires : jeudi 10 mars 2016, de 19h à 20h30
Suivre en ligne : sur Twitter via @InsermLive ou #ConfSanT
Modalités pratiques : Accès gratuit, réservations à conferences@universcience.fr
La conférence

Face au vieillissement et à la dépendance, des technologies cherchent à agir sur notre cerveau. Pour les patients, c'est la chance de retrouver des capacités perdues ou dégradées. Mais sorties de ce cadre, ces techniques peuvent être détournées au profit de personnes en bonne santé. Pour eux, c'est l'occasion d'augmenter leurs performances cognitives, de dépasser leurs limites... et de faire de ces technologies "réparatrices" un usage radicalement différent.

Pour discuter des enjeux éthiques et législatifs qui émergent de ces technologies, Santé en Questions a voulu s'intéresser en détail à deux de ces technologies : les nanomédicaments et les interfaces cerveau-machine, qui permettent d'agir par la pensée.
Intervenants

    ­Hervé Chneiweiss, président du comité éthique de l'Inserm (Paris)
    Pierre Cassous Noguès, professeur au département de philosophie de l'université Paris VIII (Paris).
    François Berger, neuro-oncologue, responsable d’équipe Inserm et directeur de Clinatec (Lyon)
    Jérémie Mattout, chercheur sur les interfaces cerveau-machine au Centre de recherche en neurosciences de Lyon (Lyon)
 

Auteur de l'article original: Rédaction Inserm
Source: Inserm
Date de publication (dans la source mentionnée): Lundi, 22. Février 2016
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